Balades de Rhéa et de moi-même

Arrivée dans la cour, heureusement la cours était déserte, donc elle n'aurait peur de rien et moi je parlerais a personne comme sa. Je ressangla, la jument. La caressa et lui dis:

"Rhea je vais monté sur ton dos, reste calme et surtout ne panique pas c'est moi!"

Je me hissa avec souplesse et aisance sur la jument, en évitant de faire des gestes brusques. Dès que je fut dessus, je lui caressa l'encolure, attrapa mees rênes et fit une légère pression au niveau des flanc pour lui demander le pas. Et hop, nous voila parti pour notre balade.
On était parti au petit pas, car je cherchais le chemin vers la fôret, pffff .... c'était vraiment grand ici. Rhéa était assez surprise, car elle s'attendait a voir de la neige partout, comme en Russie, mais malheureusement pour elle, il y en avait pas. Ma pauvre petite Rhéa allait déprimé et moi aussi, car sans neige, on allait pas pouvoir survivre. Au bout de quelque minutes, je trouva enfin le chemin vers la fôret. Rhéa me regarder a chaque fois pour avoir une pastille à la menthe ou pour dire qu'elle voulait aller plus vite, mais c'était hors de question! Pas encore. C'était trop tôt, pour notre première balade vers l'inconnue, il fallait être très prudente. Je lui tendis une pastille a la menthe et la caressa en disant:

"Je sais ma chérie, ici c'est pas chez nous. Mais Père nous a envoyé ici, donc nous somme obligé de rester ici. Malheureusement."

Rhéa hennit, pour dire qu'elle comprenait. La jument s'arreta, et frotta sa tête contre ma jambe pour dire: " Moi je suis la!. J'avais envie de fondre en larmes! Que ferais-je sans ma jument! J'ai du me poser la question au moins des millions et des millions de fois. Car pour moi, Rhéa est tout ce que j'ai, a part mes frères et ma mère qui habite loin. Mon père pour moi ne fait pas trop parti de la famille car il n'ait jamais la, et il n'a jamais été la pour moi. Je continua ma balade avec Rhéa au pas tranquillement, c'était quand même magnifique, pour le moment aucun bruit suspect, tout était calmé est paisible. Sauf que Rhéa avait qu'une idée en tête galoper!!. Je mis Rhéa au petit trot, mais au tout petit, comme sa je pouvais admirer la nature, il y avait plusieurs type d'arbres: des chênes, des pins de turqui je crois, j'ai j'amais éait super bonne en S.V.T. Il y avait beucoup de ronce, mais pas sur le chemin. Le chemin était niquel. Je flatta l'encolure de Rhéa et lui demanda d'avançais un peu plus au trot quand même mais pas trot. Je fis du trot assis, ne me demander pas pourquoi, mais je trouve sa plus confortable et mes jambes et mes pieds ne bougent jamais normalement. Je commençais a fatigué a fore, donc je me remet au trot normale. Rhéa était toute contente de trotter, cela faisait une bonne vingtaine de minutes qu'on était partit en balade, je pense. Je prépara mes aides, et demanda Rhéa un petit galop modéré. Mais au lieu de sa .... elle donna un magnifique coup de cul. Eh ben elle l'avait las pêche, heureusement, je réussi a m'accroché a la crinière, je serra les fesses et les mollets pour tenir en selle, me pencha en arrière et .... hop je resta sur ma cercle. Bon mademoiselle devait se calmer. Je lui flatta l'encolure pour lui dire de se calmer, et la ralentis un peu mais on resta un galop. J'était en équilibre et je souriais, j'était libre, j'avais l'impression de voler à chaque fois que je galopais le pire c'était en saut. Encore jeune, elle n'avait pas un niveau excellent mais elle sautait quand même bien des petites barres entre 50 et 80 centimètre pour le moment. Je repassa Rhéa au trot, puis au pas, et je décida de rentrer, car c'était assez pour une première balade. Je me mis rênes longues pour que Rhéa puisse se reposer. Mais je tenais quand même les rênes quand un lièvre ou un lapin déboula devant nous, tout se passa très vite. Rhéa jument assez peureuse, fit un écart de 20 mètres, moi réflexe vite attraper mes rênes, m'accrocher a la crinière, et pas finis .... Rhéa fit un petit cabrage ..... ouille sa sentait le roussit tout sa ... c'est sabots c'était levé a 10 ou 15 centimètre du sol, moi quand même un peu paniqué, me mis a parler à ma jument:

"Oh la la, tout doux ma chéri c'est rien!! Aller revenons sur la terre ferme s'il te plait!"

Je me mis a la carressai, car la j'en avais plus pour longtemps dans deux secondes j'allais tomber les fesses par terre. Et franchement je n'avais pas envie. Mais heureusement elle retomba sur le sol, ces quatre pattasse, sur le sol. Elle tremblait de tout son corps. Et franchement moi aussi. Je lui carressa l'encolure pour la calmer, en lui murmurant des chose doux et gentils dans une voie douce pour la calmer. Je décida de rentrer aux Ecuries. Je lui donna une friandise, après une bonne vingtaine de minute ce qui fut pour nous une éterniter. On arriva enfin dans la cours. Je lui fit de longue carresse, je posa ma tête contre son encolure et nous restâmes comme sa pendant un long moment.